Les faits sont là, et ils sont inquiétants ! Alors que le FN ne comptait que 3 élus parmi les 980 grands électeurs (députés, conseillers régionaux, conseillers généraux et délégués des conseils municipaux) chargés de désigner dimanche dernier les 2 sénateurs du département , le candidat de ce parti a obtenu pas moins de 71 voix. Le scrutin étant secret, il est évidemment impossible de savoir de qui il s'agit. Des maires des petites communes rurales aux représentants des villes touchées par la désindustrialisation, en passant par les élus des zones péri-urbaines inquiets d'une possible montée de l'insécurité, tout est possible. Mais une chose est certaine, ces 68 personnes qui n'ont pas fait part à leurs électeurs de leurs convictions profondes - et qui très certainement ont poussé la lâcheté voire le vice jusqu'à se faire élire en se proclamant sans étiquette ou apolitiques - ont propulsé les Ardennes au 7ème rang des départements ayant le plus voté pour le FN, et même au 3ème rang parmi ceux situés dans la moitié nord du pays. Une aubaine pour ce parti qui, maintenant, va sans aucun doute s'efforcer de conforter ce bastion en formation pour élargir encore un peu plus son influence...
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"Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel" (Jean Jaures/discours à la jeunesse)
mardi 30 septembre 2014
dimanche 28 septembre 2014
Les sénatoriales confirment la droitisation des Ardennes !
5 enseignements : la réélection des 2 sénateurs UMP dès le 1er tour ( = droitisation )
l'arrivée en tête de Laménie, à l'engagement politique moindre que Huré
l'effondrement du parti socialiste, qui profite en partie au candidat communiste
le maintien du poids (élevé) du centre-droit
le début d'ancrage du FN, qui quintuple ses voix
jeudi 25 septembre 2014
lundi 22 septembre 2014
dimanche 21 septembre 2014
mardi 16 septembre 2014
vendredi 12 septembre 2014
samedi 6 septembre 2014
mardi 2 septembre 2014
Le changement, c'est maintenant...
Il faut être absolument moderne ! C’est ce que
l’Arthur bien connu des Ardennais, au moins de nom, affirmait avec justesse
dans son œuvre intitulée « Une saison en enfer ». Appliquée à la
société dans laquelle nous vivons, cette formule implique qu’il est nécessaire
d’aller toujours plus vite. Finies les explications et les analyses qui
permettaient de comprendre les choses, c’est la réactivité et la concision qui
importent désormais ! C’est pourquoi, à compter d’aujourd’hui, je quitte
la déjà poussiéreuse blogosphère pour la twittosphère dont les gazouillis
limités à 140 caractères sont plus en adéquation avec les attentes de notre
temps…
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