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"Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel" (Jean Jaures/discours à la jeunesse)
mercredi 31 août 2016
mardi 30 août 2016
lundi 29 août 2016
dimanche 28 août 2016
samedi 20 août 2016
jeudi 18 août 2016
Petit panorama du tissu économique de Givet...
âge moyen en France : 13,7 ans
Doucette = Intermarché de la zone commerciale
l'indice de dynamisme des entreprises a été de + 0,88 % sur la même période en France
défaillance d'entreprises : 4 commerces de détail, 2 commerces d'automobiles, 1 commerce de
réparation informatique/électronique et 1 restaurant/bar
création d'entreprises : 2 commerces de détail, 2 restaurants/bars, 1 commerce de gros et 1
entreprise de construction spécialisée
Doucette = Intermarché de la zone commerciale
l'indice de dynamisme des entreprises a été de + 0,88 % sur la même période en France
défaillance d'entreprises : 4 commerces de détail, 2 commerces d'automobiles, 1 commerce de
réparation informatique/électronique et 1 restaurant/bar
création d'entreprises : 2 commerces de détail, 2 restaurants/bars, 1 commerce de gros et 1
entreprise de construction spécialisée
L'allocation de rentrée scolaire ne sert pas qu'à des achats scolaires !
Le chiffre, publié avant-hier par l'association Familles de France, est formel : le coût de la rentrée scolaire pour un enfant entrant en sixième, donc normalement âgé de 11 ans, sera de 190,24 euros. Comparé à l'année dernière, cela représente une baisse symbolique de 0,1 % qui ne modifiera pas le pouvoir d'achat des parents. Mais, rapporté au montant de l'allocation de rentrée scolaire qui s'élève cette année à 383,03 euros pour cette tranche d'âge, cela équivaut à tout juste la moitié. Ce qui signifie que l'autre moitié n'est pas nécessaire pour financer les achats générés par la rentrée scolaire et servira donc à autre chose. A quoi ? Difficile de le dire sans tomber dans les clichés que l'on peut entendre ça et là. Mais une chose est certaine, ces sommes en trop seraient mieux employées avec une progressivité plus forte qui permettraient de verser davantage aux familles qui ont de grands enfants inscrits au lycée ou faisant des études professionnelles...
mercredi 17 août 2016
mardi 16 août 2016
Fondation pour l'islam de France : Chevènement annonce la couleur !
LA PRÉSIDENCE DE LA FONDATION
Le Parisien : Vous êtes pressenti pour présider la Fondation pour les œuvres de l'islam de France. Allez-vous accepter ?
Jean-Pierre Chevènement : Dès le début de cette année, nous avons eu, Bernard Cazeneuve, son cabinet et moi-même, plusieurs réunions sur le sujet. Car, dès 1999, j'avais, comme ministre de l'Intérieur, lancé une grande consultation sur l'islam de France. Le ministre de l'Intérieur m'a adressé une lettre le 26 avril, me proposant — et je pense qu'il n'a pas fait cette proposition sans l'avoir évoquée avec le Premier ministre et le président de la République — la présidence de cette fondation qui n'est pas encore constituée. J'apprécie beaucoup Bernard Cazeneuve pour sa modération, sa détermination, sa parole toujours maîtrisée.
Vous allez donc dire oui ?
Il s'agit d'une tâche d'intérêt public car les 4,1 millions de musulmans que compte la France doivent pouvoir exercer leur culte mais dans le respect de la laïcité et des principes de la République. Cette mission est tellement d'intérêt public qu'aucun responsable ne peut s'y dérober. Je ne m'y déroberai donc pas sauf si ma nomination devait entraîner des problèmes insolubles qui me forceraient à me retirer. Je dis à un certain nombre d'hommes politiques de l'opposition : il en va de l'intérêt du pays que cette fondation, d'ailleurs mise en place en 2005 sous la présidence de Jacques Chirac, puisse enfin fonctionner. Comme le dit Omar Sy, nous portons tous le maillot bleu de l'équipe de France.
Certains critiquent le fait que vous soyez une personnalité politique et un non-musulman...
Ce que l'on me propose est la présidence de la Fondation pour les œuvres de l'islam de France qui a une vocation d'intérêt général, et non de l'association cultuelle qui y sera adossée. Le futur président de la Fondation ne sera pas chargé de promouvoir l'islam. Je n'y ai aucun titre, je ne suis pas musulman, je suis un républicain laïc. La laïcité n'est pas tournée contre la religion, elle libère la spiritualité de toute emprise de l'Etat. Je n'entends nullement m'immiscer dans la sphère du religieux.
SON PROGRAMME
Le moment est-il bien choisi pour relancer l'idée de cette fondation ?
L'émergence d'un islam de France compatible avec la République représente une œuvre de longue haleine d'autant plus nécessaire aujourd'hui que des courants salafistes se développent partout dans le monde, y compris en France depuis une quinzaine d'années, mettant à leur merci certains jeunes à l'esprit fragile. C'est une bonne réponse à la poussée du terrorisme, conforme à l'intérêt des musulmans, aussi bien qu'à l'intérêt de la France.
Quelles seraient les premières mesures que vous prendriez ?
La mission première de cette fondation est la formation profane des imams. Il faut leur enseigner ce qu'est la citoyenneté française, le cas échéant la langue française, les principes généraux du droit, en tout cas ceux régissant les rapports entre le culte musulman et les pouvoirs publics. Il s'agira aussi de promouvoir des projets culturels ayant pour but de faire mieux connaître la civilisation musulmane, laquelle, à certaines époques comme à la fin du
premier millénaire, a brassé les cultures et a été une des grandes matrices du monde moderne. Il faudra aussi réfléchir à la création d'un institut de recherche - profane -- en islamologie.
Avez-vous posé des conditions préalables à votre accord ?
J'ai posé deux conditions à ma présidence éventuelle. Tout d'abord, que les financements étrangers soient prohibés afin que tout se passe dans la plus grande transparence et que l'islam de France dépende d'un argent collecté en France. D'autre part, mon acceptation de principe ne signifie en aucune manière que je renonce à ma liberté d'expression en tant qu'homme politique au long cours. Mais je ressens vivement, en raison des drames que vit notre pays et aux épreuves qui l'attendent, qu'une certaine unité nationale doit se manifester.
FINANCEMENT DE L'ISLAM, LAÏCITÉ
Etes-vous opposé aussi aux financements extérieurs pour la construction et la gestion des mosquées, la formation religieuse des imams... ?
Le Conseil d'Etat différencie la fondation d'intérêt public — qui, je le répète, a en charge les activités profanes — de l'association cultuelle qui, elle, est en charge du religieux. Il me semble que l'islam de France, y compris dans sa version théologique où je n'ai pas à intervenir, doit pouvoir se développer avec des fonds français ou, en tout cas, qu'un mécanisme de transparence soit institué en l'absence de tout « fléchage » de la part des donateurs. Ce qui signifie que ce sera à l'association seule de sélectionner les projets. Mais il ne faut pas négliger ce qui a déjà été fait avec des fonds français, y compris avec le concours des collectivités locales dans les limites permises par la loi : il y a aujourd'hui 2 500 mosquées en France. Le temps de l'« islam des caves et des garages » est révolu.
Etes-vous pour une « taxe » sur la viande hallal ?
Le service peut être rémunéré, mais il faut d'abord que les musulmans s'entendent sur la certification de ce qui est hallal. Et la décision leur appartient.
Faut-il revenir sur la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat, comme l'a évoqué un moment le Premier ministre ?
Le Premier ministre n'a fait que l'évoquer et le président de la République a rejeté toute modification de la loi de 1905 qui interdit les subventions.
Quelle est votre position sur des problèmes concrets comme le port du voile à l'université, le burkini, les repas hallal dans les cantines...
Légalement, les choses me paraissent assez claires et modifier la loi n'est pas une priorité. Le conseil que je donne dans cette période difficile — comme le recteur de la mosquée de Bordeaux — est celui de discrétion. Les musulmans, comme tous les citoyens français, doivent pouvoir pratiquer leur culte en toute liberté. Mais il faut aussi qu'ils comprennent que, dans l'espace public où se définit l'intérêt général, tous les citoyens doivent faire l'effort de recourir à la «raison naturelle ». Un principe que le prophète recommande quarante-quatre fois, selon l'islamologue Jacques Berque, dans le Coran. L'avenir des jeunes nés de l'immigration est en France et nulle part ailleurs. Il faut les empêcher de tomber dans l'impasse suicidaire dans laquelle les poussent Daech et les salafistes à la vue courte. Si nous aimons la France, il faut faire des Français de confession musulmane des Français qui, comme les autres, ont envie de travailler à l'essor de la France. Il y a un intérêt commun à ce que le bateau France tienne la mer, car, s'il devait couler, ce sont tous ses passagers qui couleraient avec lui.
lundi 15 août 2016
dimanche 14 août 2016
Canton de Givet : les comptes de campagne des candidats de 2015 viennent d'être publiés !
(pour une meilleure lecture du document, vous pouvez l'agrandir en faisant un clic gauche dessus)
Pour mieux comprendre : le remboursement de l'Etat est limité à 47,5 % du plafond des dépenses
autorisées (soit 5.434 euros)
lorsqu'il y a 2 lignes pour un binôme, la 1ère correspond à ce qui a été
déclaré et la 2ème à ce qui a été retenu après correction par l'Etat
les concours en nature ne sont pas remboursés par l'Etat
5 remarques : 1 compte de campagne a été refusé et 3 acceptés après réformation, c'est-à-dire
après correction imposée par l'Etat
le binôme Coquet / Wallendorff a déclaré 625 euros de dépenses indues, ce qui
n'a pas échappé à la vigilance des services de l'Etat
le binôme du Front National a déclaré 65 euros de dépenses indues, ce qui n'a pas
échappé à la vigilance des services de l'Etat
le binôme du Front National a tenté par une pirouette comptable (minoration des
concours en nature et majoration de l'apport personnel) d'obtenir 300 euros de
remboursement auquel il n'avait pas droit !!
le binôme Gouget / Husson a commis une maladresse comptable sans incidence
sur le remboursement (déclaration d'un prêt d'un parti en apport d'un parti)
==> l'élection a été gagnée par le binôme qui a dépensé le plus d'argent
==> tous les comptes de campagne comportent au moins une errreur
samedi 13 août 2016
La justice vient de prendre 2 décisions choquantes !
Hier matin : refus de la destruction des commerces ILLÉGAUX de la "jungle" de Calais
Motivations du tribunal administratif de Lille : "il n'est pas établi que la destruction de l'ensemble des commerces de la jungle permettrait, à elle seule, de mettre fin aux violences et aux trafics qui se déroulent sur le site d'une part, et aux dangers d'explosion et d'incendie liés à la nature même de l'occupation de ce site d'autre part". Les commerçants du reste de la France, qui paient leurs charges et respectent les normes de sécurité, apprécieront !
Hier après-midi : refus de la remise en liberté CONDITIONNELLE de Jacqueline Sauvage
Motivations du juge d'application des peines : "il doit également être souligné que l'importante médiatisation de son affaire rend difficile une authentique démarche de réflexion pour Madame Sauvage qui est encouragée à se cantonner dans un positionnement exclusif de victime, sans remettre en question son fonctionnement psychique personnel et sans s'interroger sur sa part de responsabilité dans le fonctionnement pathologique de son couple". Les multiples soutiens dont a bénéficié Jacqueline Sauvage, qui ont vu en elle beaucoup plus une victime qu'une coupable, apprécieront !
La justice est supposée être rendue au nom du peuple français ! Malheureusement, dans ces deux décisions prises hier, il semble que d'autres considérations aient joué un rôle important. C'est hautement regrettable, surtout à l'heure où nos institutions ont plus que jamais besoin d'apparaître irréprochables...
jeudi 11 août 2016
Aubrives : la nouvelle municipalité fait exploser la dette !
4 remarques : le montant de la dette a augmenté de 50 % depuis le début du mandat
la dette par habitant atteint désormais 2,5 fois la moyenne de la strate
l'envolée de la dette s'explique par des dépenses de fonctionnement incontrôlées
le recours à la dette est dangereux avec la baisse à venir des dotations de l'Etat
mardi 9 août 2016
Le gouvernement accentue la répression du mouvement syndical !
octobre 2015 : l'annonce par le DRH d'Air France de 2.900 suppressions d'emploi se passe mal
janvier 2016 : l'inspection du travail refuse le licenciement d'un délégué CGT
(motif : "il est impossible de déterminer avec certitude s'il bouscule des salariés volontairement ou s'il est lui-même chahuté")
août 2016 : la ministre socialiste du travail valide le licenciement du délégué CGT
(motif : "A l'issue d'une analyse longue et minutieuse des faits survenus le 5 octobre 2015 en marge du comité central d'entreprise du groupe Air France, et sur la base des éléments portés au dossier, il ressort que la faute reprochée est d'une gravité suffisante pour justifier le licenciement du salarié protégé")
samedi 6 août 2016
vendredi 5 août 2016
jeudi 4 août 2016
Chevènement bientôt à la tête de la Fondation pour l'islam de France ?
Jean-Pierre Chevènement, pressenti pour prendre la tête de la Fondation pour l'islam de France, considère qu'il s'agit d'une "tâche difficile", mais à laquelle "on ne peut pas se dérober", car elle "répond à l'intérêt national", a-t-il indiqué mercredi à l'AFP.
François Hollande avait évoqué mardi soir de façon informelle l'ancien ministre Jean-Pierre Chevènement, connu pour son attachement à la laïcité, pour prendre la tête de la Fondation pour l'islam de France.
Le président a souligné la nécessité pour cette Fondation, créée en 2005 mais paralysée par des dissensions internes, d'exercer un contrôle notamment sur le financement de la construction des lieux de culte musulmans. "J'ai été pressenti par Bernard Cazeneuve (le ministre de l'Intérieur, ndlr) au mois de mars", a expliqué M. Chevènement par téléphone à l'AFP, affirmant qu'il communiquerait sa position officielle à la rentrée. "Je considère que c'est une tâche difficile, mais d'une importance très grande du point de vue de l'intérêt national. On ne peut pas refuser d'apporter sa contribution à cette tâche", a-t-il déclaré. "C'est une tâche difficile, mais à laquelle on ne peut se dérober", a-t-il insisté. "Il y a quatre millions de musulmans en France, pour la plupart Français, il faut qu'ils soient citoyens avec les droits que cela comporte, notamment la liberté de culte, et aussi bien entendu les devoirs", a-t-il estimé.
La ministre des Droits des femmes Laurence Rossignol a elle plaidé mercredi pour qu'une femme prenne la tête de cette fondation. Interrogé sur le sujet à l'issue du Conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll a refusé toute "polémique". "Il y a besoin d'une personnalité qui puisse être un médiateur fort, à la fois ferme sur les grands principes de la laïcité, et ouvert, pour permettre à l'ensemble des cultes d'assurer leur exercice dans le cadre de la République", a-t-il déclaré, assurant que M. Chevènement avait été évoqué "de manière très claire". "J'ai bien entendu Laurence Rossignol (...) mais je ne crois pas que sur ce sujet il y ait de modifications", a-t-il dit.
Le président a souligné la nécessité pour cette Fondation, créée en 2005 mais paralysée par des dissensions internes, d'exercer un contrôle notamment sur le financement de la construction des lieux de culte musulmans. "J'ai été pressenti par Bernard Cazeneuve (le ministre de l'Intérieur, ndlr) au mois de mars", a expliqué M. Chevènement par téléphone à l'AFP, affirmant qu'il communiquerait sa position officielle à la rentrée. "Je considère que c'est une tâche difficile, mais d'une importance très grande du point de vue de l'intérêt national. On ne peut pas refuser d'apporter sa contribution à cette tâche", a-t-il déclaré. "C'est une tâche difficile, mais à laquelle on ne peut se dérober", a-t-il insisté. "Il y a quatre millions de musulmans en France, pour la plupart Français, il faut qu'ils soient citoyens avec les droits que cela comporte, notamment la liberté de culte, et aussi bien entendu les devoirs", a-t-il estimé.
La ministre des Droits des femmes Laurence Rossignol a elle plaidé mercredi pour qu'une femme prenne la tête de cette fondation. Interrogé sur le sujet à l'issue du Conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll a refusé toute "polémique". "Il y a besoin d'une personnalité qui puisse être un médiateur fort, à la fois ferme sur les grands principes de la laïcité, et ouvert, pour permettre à l'ensemble des cultes d'assurer leur exercice dans le cadre de la République", a-t-il déclaré, assurant que M. Chevènement avait été évoqué "de manière très claire". "J'ai bien entendu Laurence Rossignol (...) mais je ne crois pas que sur ce sujet il y ait de modifications", a-t-il dit.
(dépêche AFP, mercredi 03 août 2016)
mardi 2 août 2016
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