Depuis samedi dernier, tous ceux qui dans la Pointe louent des logements ou proposent des services de restauration se frottent les mains ! Pensez donc, avec l'arrêt pour environ 3 mois d'un des 2 réacteurs de la centrale de Chooz, ce ne sont pas moins de 1.200 personnes qui vont venir travailler sur le site. Une véritable aubaine attendue par ces professionnels comme les habitants du Sahel attendent les premières pluies de l'année ou ceux d'Asie du sud-est la mousson. C'est dire ! Pourtant, comme vous pouvez le lire dans le bref article ci-dessous paru le 27 janvier en page 2 de L'Ardennais, il y en a au moins un qui n'en profitera pas autant qu'il l'aurait souhaité : celui qui a été pris la main dans le sac, comme on dit, en train de faire travailler en toute illégalité une personne.
D'après notre quotidien départemental, cette attitude évidemment répréhensible s'est produite dans la bonne commune d'Aubrives, mais il ne précise hélas pas qui s'en est rendu coupable. Un manque dommageable, puisqu'il ternit l'image de tous les professionnels du village travaillant dans cette branche d'activité, y compris celle du dirigeant de la société gérant l'établissement le plus connu et le plus réputé de la commune que j'ai rencontré hier matin et qui m'a assuré n'avoir strictement rien à voir avec cette lamentable affaire. Des dires auxquels j'accorde le plus grand crédit, d'autant qu'ils devraient être confirmés très prochainement dans les colonnes de L'Ardennais...
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