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"Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel" (Jean Jaures/discours à la jeunesse)
vendredi 29 avril 2016
jeudi 28 avril 2016
mercredi 27 avril 2016
Naissance d'un nouveau parti politique qui peut ouvrir des perspectives intéressantes...
Le Parti de la démondialisation (le Pardem) a tenu son congrès fondateur à Paris les 20 et 21 février 2016 et élu ses dirigeants. Il se présente aujourd’hui publiquement.
C’est un pavé dans la marre du petit monde politique sclérosé !
• Pour accéder à la biographie des dirigeants du Parti de la démondialisation, cliquez sur « La direction du Parti ».
Le Pardem ne se situe pas dans le clivage gauche-droite dénué de sens aujourd’hui. Il récuse les duettistes de l’alternance (PS et ses satellites EELV et PCF d’un côté, droite et centre de l’autre), et les duettistes des fausses alternatives (Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon).
• Pour accéder aux documents présentant la philosophie politique du Pardem, cliquez sur « Fin du clivage gauche-droite ».
Le Parti de la démondialisation se distingue de tous les autres partis politiques, de gauche ou de droite, car il est le seul à expliquer pourquoi et comment il faut démondialiser, c’est-à-dire sortir unilatéralement de l’ordre néolibéral mondial pour restaurer notre souveraineté nationale.
• Pour accéder aux analyses du Parti de la démondialisation sur les raisons et les moyens de démondialiser et de recouvrer notre souveraineté nationale, cliquez sur « Démondialiser ».
Le Pardem est le seul parti politique à disposer d’un programme de gouvernement aussi détaillé, expliquant notamment comment sortir unilatéralement de l’euro et de l’Union européenne.
• Pour accéder au programme du Pardem, cliquez « Programme ».
Le Parti de la démondialisation présentera un candidat à l’élection présidentielle et se fixe l’objectif de présenter un candidat-e dans chaque circonscription.
• Pour accéder aux informations du Parti de la démondialisation concernant l’élection présidentielle et les élections législatives de 2017, cliquez sur « Législatives 2017 » et « Présidentielle 2017 ».
Le Pardem rassemble les démondialisateurs, indépendamment de leurs anciennes appartenances ou sympathies politiques, il est leur parti politique.
mardi 26 avril 2016
dimanche 24 avril 2016
Givet : les collégiens marient avec art talent et imagination
"La végétation sort du cadre de ma feuille", un sujet pas facile à traiter ! Et pourtant, cela n'a pas désarçonné les élèves de 5ème du collège de Givet qui ont réalisé sur ce thème original des œuvres de qualité, dont vous pouvez voir un échantillon sur les quelques clichés ci-dessous que je viens de recevoir et que je me fais un plaisir de partager...
samedi 23 avril 2016
30 ans après Tchernobyl, une modélisation montre (enfin) la progression du nuage radioactif !
Dans 3 jours, ce sera le trentième anniversaire de l'accident nucléaire le plus grave de toute l'Histoire : l'explosion du réacteur n° 4 de la centrale Lénine de Tchernobyl ! A l'occasion de ce moment très particulier, de nombreuses actions ont été organisées. Pour rassurer, comme l'exposition intitulée "la radioactivité, des centaines de questions, une exposition" qui vient d'être inaugurée à Vireux-Wallerand par la commission locale d'information de Chooz. Où pour éclairer sur les conséquences de cette catastrophe classée au niveau 7, le plus élevé de l'échelle internationale des événements nucléaires, comme l'animation vidéo ci-dessous qui montre le déplacement du nuage radioactif du 26 avril au 09 mai 1986. Une modélisation très sérieuse réalisée à partir de deux sources d'information (la connaissance des quantités de substances radioactives rejetées lors de l'accident et celle des conditions météorologiques qui ont suivi l'accident) qui montre, pour ceux qui en douteraient encore, que les nuages vont et viennent au gré des vents et ignorent de ce fait les frontières, toutes les frontières, y compris - contrairement à ce que nos autorités ont osé affirmer - celles de la France...
vendredi 22 avril 2016
Revin : spectaculaire opération pour la rénovation de la centrale hydro-électrique !
(vidéo mise en ligne sur le site de l'Union-L'Ardennais le 20 avril 2016)
"L’opération est rarissime. Lundi, quarante ans après son installation, une imposante roue en inox a été extraite d’une des turbines de la centrale hydraulique. Plus de 28 tonnes et 5 mètres de diamètre, les mensurations de la roue quadragénaire sont impressionnantes.
Tapie dans les profondeurs de la Step (Station de transfert d’énergie par pompage de Revin, Saint-Nicolas, Les Mazures), plus connue sous le nom de centrale hydraulique de Revin, une bête a émergé. [...]
Il aura fallu une armée de techniciens et spécialistes en tout genre pour l’extraire de son terrier, un emplacement qu’elle occupait depuis 40 années, date de la construction de l’ouvrage. Une opération particulièrement complexe qui revêt un caractère exceptionnel.
"C’est presque une première en Europe. Une grande réhabilitation d’une centrale hydraulique comme celle-ci, ça se voit nulle part", lance Frédéric Barbe, chef d’arrêt du programme de rénovation de la centrale, pas peu fier d’avoir débusqué l’engin. Et pour parvenir à sortir cette roue, il a d’abord fallu démonter la quasi-totalité du groupe de production n°3, l’une des quatre turbines-pompes qui produisent chaque année une quantité d’électricité équivalente à la consommation de la ville de Reims. "La manipulation mécanique de ce type de pièce, lourde et encombrante, requiert un maximum de sécurité." Et bien évidemment tout un tas de protocoles.
Lentement, après avoir capturé avec des sangles l’imposante pièce de métal, le pontier guidé par un homme au sol, l’extirpe du tunnel profond de 15 mètres où elle se terrait. 31,4 tonnes, le pont indique, telle une incroyable balance, la masse soulevée. Bien qu’immergée dans l’eau depuis des décennies, c’est dans une robe étincelante d’inox que la roue s’est révélée ce lundi après-midi. Hier, elle a été déposée sur la remorque d’un poids lourd qui la conduira, au terme d’un voyage de quatre jours à travers la France, jusqu’à Grenoble où elle sera rénovée. "Elle repart à l’atelier", indique Gilles Duc, ingénieur mécanicien au Centre d’ingénierie hydraulique de Grenoble. "Nous allons refixer le labyrinthe mobile sur la roue car les fixations sont usées."
Pas simple de saisir le jargon technique. En clair, l’étanchéité de la pièce métallique va être refaite. "Cette roue n’avait jamais été démontée et c’est la seule du site qui sera rénovée". Ses sœurs jumelles, toujours cachées dans la partie inférieure des trois autres groupes de production – qui fonctionnent durant le chantier – n’auront pas droit au même lifting. Elles seront simplement remplacées.
Ces travaux d’envergure, permettront entre autres une réduction de la consommation en électricité durant la phase de pompage et amélioreront la production du site revinois, troisième station de transfert d’énergie par pompage de France par sa puissance électrique. Le groupe nº3 devrait de nouveau fonctionner en fin d’année. Il aura d’ici là retrouvé ses pièces et sa précieuse roue, qui, avant de regagner les entrailles humides de la centrale pour des décennies, aura au moins vu du pays."
(article de Jean-Godefroy Varoquaux paru dans L'Ardennais le 20 avril 2016, en page Revin)
jeudi 21 avril 2016
mardi 19 avril 2016
lundi 18 avril 2016
samedi 16 avril 2016
Givet : il faut trouver un nom consensuel pour l'ex-caserne Mangin !
Depuis quelques semaines, un sujet provoque de vives réactions de la part d'une partie de la population givetoise : le changement de nom de l'ancien mess des officiers, situé près du Manège à l'extrémité de l'esplanade Sourdille ! Actuellement en cours de reconversion en appartements suite au départ des militaires de la ville en 2009, il passera de caserne Mangin à celui de résidence Massu. Une modification décidée par le propriétaire du bâtiment - à savoir la mairie de Givet - pour marquer la nouvelle affectation du lieu tout en restant dans le registre militaire, qui n'aurait a priori pas dû poser de problème tant les deux personnages présentent des similitudes : ayant atteint tous les deux le grade de général, ils ont effectué une partie de leur carrière en Afrique du Nord (au Maroc pour Mangin, lors de sa conquête entre 1912 et 1914, et en Algérie pour Massu, lors de la guerre d'indépendance de 1956 à 1960) et ont porté haut les couleurs de la France pendant une guerre mondiale (la 1ère pour Mangin, qui s'y illustra notamment en reprenant le fort de Douaumont à Verdun, et la 2ème pour Massu, qui s'y distingua en obtenant le titre de Compagnon de la Libération après avoir été un des premiers à rejoindre la Résistance extérieure lancée par de Gaulle).
Seulement voilà, Massu a aussi une grosse casserole que l'on peut difficilement passer sous silence : il a autorisé, de son propre aveu lors d'un entretien télévisé datant de 1971, la pratique de la torture pendant la bataille d'Alger et semble s'y être lui même livré ! Une tâche rédhibitoire qui fait qu'il est plus que délicat (c'est évidemment un euphémisme) de donner le nom de ce tortionnaire à un bâtiment. Alors, pourquoi ne pas garder le nom de Mangin comme le réclament bon nombre de Givetois ? Ce serait assurément la solution de la facilité, qui permettrait de donner satisfaction à tous ceux qui sont attachés aux dénominations traditionnelles, mais pas celle du bon sens puisque ce brave général porte également une tâche que l'on a allègrement occultée pendant notre période coloniale mais que l'on ne peut plus ignorer de nos jours : il est responsable de la mort de tellement de soldats originaires de l'Afrique noire, dont il ne regardait jamais aux pertes lorsqu'il les envoyait en première ligne, qu'il était surnommé de son vivant le "buveur de sang" ou encore le "boucher noir". Un comportement pour le moins gênant, sauf à dire que la vie d'un Sénégalais n'est pas égale à celle d'un Algérien, qui fait qu'il est difficile de maintenir le nom de ce colonialiste sanguinaire sur un bâtiment !
Dans ces conditions, quelle dénomination peut-on choisir pour l'ancien mess des officiers ? Ce ne sont pas les noms consensuels qui manquent, mais dans l'hypothèse où certains seraient à court d'idées, il y a une solution toute simple : s'inspirer de ce qui se fait ailleurs ! Pour ce faire, vous trouverez ci-dessous une carte publiée ce vendredi par le site Slate.fr qui relève le nom de la personnalité la plus présente sur les plaques de rue de chacun de nos 101 départements. Un document intéressant qui montre que si l'on veut rester dans les grands classiques sans tomber pour autant dans les appellations régionalistes (Mistral, Sand et Schoelcher) ni faire redondance avec des noms de rue existant déjà à Givet, on pourrait s'orienter par élimination vers la dénomination de résidence Jean Moulin...
(pour une bonne lecture de la carte, vous pouvez l'agrandir en faisant un clic gauche dessus)
vendredi 15 avril 2016
Givet : les (bonnes) raisons de la démission d'une adjointe
Depuis quelques temps, ça tangue dans la majorité municipale de Givet, au point que 5 personnes ont démissionné la semaine dernière : la maire-adjointe à la culture et aux affaires scolaires, une conseillère municipale très impliquée dans l'animation de la ville et trois colistiers non élus puisque figurant en fin de liste. Une situation peu banale, qui a conduit l'adjointe démissionnaire à faire part des motifs de sa décision dans le message ci-dessous publié ce matin sur internet :
"Mercredi 31 mars 2016, après deux ans d’engagement comme adjointe à la culture et aux affaires scolaires de Givet, j’ai présenté ma démission, avec quatre co-listiers. C’est une décision difficile à prendre et, en accord avec mes convictions, avec responsabilité, j’ai décidé de partir.
Durant deux ans, avec le collectif Givi J'y Reste et le député Christophe Léonard, je me suis engagée pour le maintien du lycée Vauban, l’élargissement de l’offre de formation et la nomination d’un chef d’établissement.
Dans le domaine de la culture, je suis fière, avec le Directeur du Manège et la Présidente de l’Association “Le Manège”, d’avoir pu soutenir une programmation culturelle éclectique de qualité et une action culturelle en faveur du public scolaire, de la maternelle au lycée, tout en assainissant les finances ; programmation plébiscitée par la DRAC, par les écoles givetoises et par de nombreuses villes.
Sur plusieurs sujets, ces derniers mois, j’ai exprimé un point de vue différent au sein de la liste, sans parvenir à me faire entendre : la problématique du centre-ville et l’immobilisme affiché, la caserne Mangin rebaptisée Massu, le gel de la subvention du Manège dont je n’ai jamais été informée et que je n’ai pas cautionné, aussi bien sur le fond (le gel illégal de la subvention) que sur la forme (le gel comme moyen de chantage sur le Directeur du Manège).
Je n ai pas voulu être l’adjointe d’une majorité qui prône un pseudo dialogue qui utilise des informations orientées et biaisées pour aller dans la direction décidée à l’avance.
Depuis, le mépris affiché à mon égard (la majorité municipale ayant refusé le dialogue suite à mon courrier de démission) n’a fait que me conforter dans le choix que j’ai fait.
Je tiens à remercier tous ceux qui, durant ces deux années, m’ont fait confiance, m’ont soutenue, encouragée dans les idées que j’ai défendues, aussi bien dans le domaine culturel que dans celui des affaires scolaires. Un merci particulier à mes co-listiers démissionnaires pour leur soutien indéfectible."
(publication de Kathy Chavatte sur sa page Facebook, vendredi 15 avril 2016)
Le chômage, un fléau pour Givet et dans la Pointe !
Pour comparaison : 10,0 % de taux de chômage en France
10,1 % de taux de chômage dans le Grand-Est
10,7% de taux de chômage en Champagne-Ardenne
12,1 % de taux de chômage dans les Ardennes
12,9 % de taux de chômage dans la zone d'emploi de Charleville-Mézières
19,5 % de taux de chômage dans la comcom Ardenne Rives de Meuse
> 22 % de taux de chômage à Givet
jeudi 14 avril 2016
mercredi 13 avril 2016
mardi 12 avril 2016
Quand Ardenne Rives de Meuse fait une distinction entre les parents d'élèves travaillant à EDF et les autres...
Avec les nombreuses suppressions de classes qui ont eu lieu ces dernières années dans le primaire, la fermeture de l'école de Foisches et les menaces sur le maintien de la filière littéraire au lycée Vauban de Givet et d'un collège à Vireux-Wallerand, la question de l'offre scolaire est un sujet hautement sensible dans la Pointe. Au point que la Communauté de communes Ardenne Rives de Meuse a pris la décision de réaliser un diagnostic éducatif de la maternelle au secondaire sur l'ensemble de son territoire, afin d'avoir un outil sérieux à sa disposition à opposer aux décideurs de l'Education nationale (Ministère, Rectorat ou Direction académique en fonction du niveau scolaire) en cas de nouvelle(s) annonce(s) de fermeture.
Une bonne idée en soi, qui a conduit la CCARM à mandater le cabinet Strasbourg Conseil pour la réalisation de cette mission. Pour honorer cette commande, ce dernier a mis en ligne un questionnaire anonyme (pour en prendre connaissance, cliquer ici) auquel tous les parents d'élèves scolarisés sur le territoire peuvent répondre. Parmi les 12 rubriques qu'il contient, on trouve entre autres le niveau de scolarisation de votre enfant, votre degré de satisfaction des locaux-matériels-encadrement de l'établissement fréquenté, votre opinion sur les options proposées ou encore votre ressenti sur tout ce qui relève du périscolaire. Bref, du classique ! Par contre, ce qui l'est beaucoup moins, c'est la question 11 que vous pouvez voir sur la capture d'écran ci-dessous. Choquante, ahurissante, sidérante, elle distingue les parents d'élèves travaillant à la centrale de Chooz des autres parents d'élèves. Comme si les besoins des premiers méritaient d'être davantage pris en compte que ceux des autres ! Comme si, sur les bancs des établissements scolaires de la République, tous les élèves n'avaient pas la même importance !! Comme si l'enseignement public devait être conçu comme devant répondre aux attentes des salariés d'une entreprise particulière !!! C'est tout bonnement inacceptable, intolérable et je suis persuadé que je ne serai pas le seul à penser ainsi...
lundi 11 avril 2016
samedi 9 avril 2016
Givet : un chef d'entreprise attaque la comcom en justice pour un préjudice de 1,7 millions d'euros !
Evènement devenu hélas banal dans la Pointe des Ardennes en général et à Givet en particulier, une entreprise a été mise mise en liquidation judiciaire le 17 mars dernier. Son nom ? Est Réfractaires, qui avait été créée en 2013 pour continuer l'activité de la société Gema consistant à transformer de la magnésie importée (la noire, dont la stabilité lui permet d'être employée comme revêtement interne des creusets utilisés en métallurgie, et non la blanche qui sert à améliorer les performances des mains des gymnastes !). Peu connue de la population locale du fait de la poignée seulement de salariés qu'elle comptait, cette entreprise n'en était pas moins importante puisqu'elle contribuait au trafic du port de Givet. Sa disparition n'est donc pas anodine, d'autant que son ancien dirigeant vient de me faire parvenir un courrier, dont vous trouverez l'essentiel ci-dessous, dans lequel il incrimine directement la Communauté de communes contre laquelle il a engagé une procédure judiciaire portant sur un préjudice de 1,7 millions d'euros ! Dans d'autres documents - dont le rapport d'activité déposé auprès du tribunal de commerce de Sedan - il pointe du doigt les responsabilités du Président d'Ardenne Rives de Meuse et celle du maire de Givet dans l'échec de sa société. Des accusations graves, mais qui méritent d'être lues. C'est édifiant...
Extraits du rapport d'activité et de l'historique de la société :
"Les éléments à charges sont tels que nous rejetons la possibilité que la
CCARM ne soit pas condamnée. Le préjudice encouru est chiffré à 1.5M€ environ.
Il est vraisemblable de penser que le cabinet parisien chargé de défendre les
intérêts de la CCARM n’hésitera pas à épuiser tous les recours possibles, le
coût de ses honoraires étant dans tous les cas à la charge des contribuables." (rapport d’activité : page 2 /7)
Extraits du rapport d'activité et de l'historique de la société :
"Pour convaincre en 2008 l’entreprise de s’installer à Givet
pour y développer son projet, la Communauté de Communes Ardenne Rives de Meuse
(CCARM) s’est proposée de lui vendre la friche industrielle appelée CELLATEX
pour l’euro symbolique dès la fin des travaux de démolition et dépollution
engagés au moment de notre arrivée. Je me suis laissé séduire par ce qui est
rapidement devenu un miroir aux alouettes." (rapport d’activité : page 1/7)
"Les règles du jeu imposées par la CCARM, toute puissante sur
le site, a rapidement fait perdre à l’entreprise toute maitrise de son
développement puis de son avenir. En refusant sans cesse à l’entreprise la
possibilité d’acquérir le site, elle lui refusait tout accès aux solutions de
financement qui lui étaient nécessaires pour pouvoir se développer." (rapport
d’activité : page 6/7)
"La cité de la Soie est régulièrement inondée. La solution
mise en œuvre en 2011 par la CCARM fut d’installer une pompe et une
canalisation faite de tubes en plastiques, déployés au travers du site, pour
évacuer l’excédent d’eau de pluie dans un regard situé au milieu de la voie de
circulation, à proximité immédiate de la seule porte utilisable pour le
chargement des camions. […] la voie de circulation a été bloquée devant le
regard au moyen de rochers bloquant ainsi les camions dans un "cul de
sac" d’où il leur était difficile de s’extirper en marche arrière sur
plusieurs centaines de mètres. […] Ce n’est que lors de notre entretien du
15/02/2013 que Monsieur WALLENDORFF a enfin autorisé le déplacement de ces
rochers, confirmant en outre que les travaux d’enfouissement de la canalisation
était prévus pour avril 2013. Rien n’a encore été fait à ce jour." (historique
de la société : page 4/23 et 5/23)
"Ce n’est que le
27/12/2013, soit 48 mois plus tard que l’Assemblée Communautaire vota la
décision de vendre le site à EST REFRACTAIRES, décision remise en question par
un simple courrier du Président de la CCARM, reçu 19 jours plus tard. Ce
dernier s’était entretemps laissé convaincre et acceptait de vendre le site à M
PETIN, sur la base de différents projets que n’importe qui d’autre aurait
qualifié de fantaisiste." (rapport d’activité : page 1/7)
"Quelles que soient les réelles motivations du Président de
la communauté de Communes, il aura fallu moins de 19 jours à Monsieur PETIN
pour lui faire perdre tout sens de l’éthique. D’un simple courrier recommandé,
il a pris la décision de balayer 6 années de travail et d’efforts dans des
conditions particulièrement difficiles et de provoquer la mise en liquidation
judiciaire d’EST REFRACTAIRES sans état d’âmes et encore moins
éprouver le besoin de s’en expliquer." (historique de la société : page
16/23)
"En acceptant d’engager une négociation en parallèle de celle
qu’EST REFRACTAIRES tentait à ce moment de mener avec FCGS, les élus se sont
rendus coupables de collusion et compromis la Communauté de Commune qui était
soumis au respect de l’éthique." (historique de la société : page
23/23)
vendredi 8 avril 2016
Loi travail : voilà une méthode très simple pour exiger du député Léonard de s'y opposer !
Les socialistes sont décidément des gens surprenants ! Depuis 2012, date de l'élection de François Hollande à la Présidence de la République et de leur victoire aux élections législatives, ils dirigent le pays. D'une façon étonnante, certes, étant donné qu'ils n'ont rien trouvé de mieux que de nommer à la tête du gouvernement le candidat aux primaires de 2011 ayant obtenu le plus petit score avec à peine plus de 5 % : Manuel Valls, qui mène une politique de droite à peine édulcorée. De quoi déconcerter certains d'entre eux qui ont constitué une association ayant pour but la défense des valeurs socialistes, la recomposition de la gauche et le renouveau des combats. Son nom ? Tout simplement "les socialistes" (je suppose que le choix des couleurs n'est pas dû au hasard) qui affirment sur leur site "qu'il est grand temps de se mobiliser pour".
C'est pourquoi, en application d'une logique qui m'échappe totalement, ils viennent de contacter par mail toute une série de personnes - dont l'ancrage à gauche est connu - pour leur proposer de demander aux parlementaires socialistes de s'opposer à la loi Travail. Pour ce faire, ils suggèrent d'envoyer automatiquement, par l'intermédiaire d'un formulaire en ligne, un courrier-type que vous trouverez ci-dessous aux députés et aux sénateurs socialistes. Pour y accéder, il vous suffit de cliquer ici et de remplir les trois rubriques figurant en haut à gauche de la page qui apparaîtra : nom et prénom, adresse mail et sélection du département. Le nom de Christophe Léonard apparaîtra alors en rouge et vous n'aurez plus qu'à cliquer dessus pour qu'il reçoive le courrier-type. Une démarche très simple qui vous demandera moins d'une minute et qui peut permettre de faire comprendre au député de la circonscription que la population ne veut pas de cette loi. Une excellent mise en bouche avant la grande manifestation qui aura lieu demain à 10h30 sur la place ducale à Charleville-Mézières...
jeudi 7 avril 2016
Givet : enfin une excellente nouvelle pour le centre-ville !
Depuis plusieurs années maintenant, la tendance est à la fermeture parmi les commerces du centre-ville de Givet. Les panneaux "à vendre" ou "à louer" ainsi que les devantures vides en sont la preuve flagrante qui ne peut échapper à personne ! D'où une impression générale de désertification qui fait mal lorsque l'on se promène dans la rue Gambetta, dans celle de Saint Hilaire ou encore dans la rue du cygne. Mais dans cette morosité ambiante, il arrive parfois qu'un rayon de soleil apparaisse, comme la réouverture très prochaine de la brasserie de l'hôtel de ville. Une bonne nouvelle pour le centre-ville qui retrouve là un établissement qui a longtemps été un de ses fleurons ! Mieux, une excellente nouvelle puisque, comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessous, cette réouverture créera des emplois puisqu'elle s'accompagne du recrutement d'une nouvelle équipe...
mardi 5 avril 2016
Givet : voilà le contenu du contrat initial de location du fort de Charlemont !
Après la tempête qui a agité certains Givetois(es) sur la dénomination du site de Charlemont, des interrogations fortes sont apparues sur les conditions liant l'occupant actuel des lieux à son propriétaire qui n'est autre que la Communauté de communes Ardenne Rives de Meuse. Au point que certains n'ont pas hésité à affirmé que la location se faisait à titre gratuit et que tout était permis au locataire ! Balivernes, bien sûr, puisqu'un bail en bonne et due forme a été signé entre les deux parties après qu'un contrat de bail - que vous trouverez en intégralité ci-dessous - ait été soumis au Conseil communautaire qui s'est tenu le 26 décembre 2013. Une date qui correspond au lendemain de Noël, vous l'aurez remarqué, ce qui ne veut pas dire pour autant que c'était jour de cadeau...
lundi 4 avril 2016
Givet : voilà la délibération qui aurait transformé le fort de Charlemont en citadelle !
Depuis quelques semaines, une agitation certaine secoue une partie de la population de Givet. Son motif ? La décision d'appeler le site de Charlemont, dont les impressionnantes murailles surplombent la ville, non plus FORT mais CITADELLE ! Une mesure qui a été ressentie par beaucoup comme une remise en cause inacceptable du passé de la ville, au point que les commentaires se sont déchaînés sur Facebook et qu'une pétition en ligne a été lancée. Une question sur ce changement de nom a même été posée par une conseillère communautaire lors du conseil communautaire qui s'est tenu la semaine dernière, à laquelle il a été répondu que la décision datait d'une délibération prise en décembre 2013. Je suis donc allé aujourd'hui consulter le recueil des actes administratif de la Communauté de communes Ardenne Rives de Meuse pour prendre connaissance de cette fameuse délibération. Comme vous pouvez le lire sur la reproduction intégrale qui figure ci-dessous, elle mentionne certes le terme de CITADELLE, mais seulement comme appellation du projet touristique porté par la famille Cuylits. Par contre, rien n'atteste d'une quelconque modification officielle du nom du site de Charlemont, que l'on peut donc en l'état actuel des choses continuer à appeler FORT...
la délibération prise le 04 décembre 2013
les auteurs de la délibération
samedi 2 avril 2016
vendredi 1 avril 2016
Givet : l'activité sous le pont des Américains ne laisse rien présager de bon !
Comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessous, une activité inhabituelle régnait hier à Givet sur (ou plutôt sous) le pont des Américains, avec le déploiement d'un matériel lourd qui n'a pu échapper à personne et qui n'a pas été sans occasionner d'importants troubles de la circulation. Cette situation peu banale amenait forcément à se demander quel était le motif de la mise en place d'un tel dispositif ! Était-ce pour vérifier la solidité des piles du pont après les crues de cet hiver ? Ou alors pour s'assurer que le tablier supportant la route n'avait pas de problème particulier ? Ou peut-être pour fixer un panneau de signalisation destiné à la navigation fluviale ? En fait ce n'était pour rien de tout cela, mais - comme j'ai pu l'apprendre de la bouche d'un des salariés de l'entreprise à pied d'oeuvre - c'était pour faire un relevé précis de mesures afin de préparer l'élargissement du pont de façon à ce qu'il soit plus facile d'accès pour les camions. Une bonne nouvelle a priori, puisque cela permettra de fluidifier la circulation entre les deux rives de la Meuse. Mais à bien y réfléchir, une bonne nouvelle seulement en apparence puisque cela laisse entendre que la construction tant attendue et tant mise en avant au moment des élections d'un deuxième pont sur la Meuse ne serait de fait plus d'actualité. Triste perspective qui ne devrait pas tarder à être confirmée...
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