Dans 2 gazouillis, comme il convient de dire en bon français lorsqu'on ne veut pas utiliser le mot anglais tweet, rédigés il y a environ deux heures, on apprend qu'un article sera publié demain dans notre quotidien départemental afin de rendre compte des conclusions du cabinet KPMG mandaté par la Communauté de communes Ardenne Rives de Meuse sur les conséquences fiscales de la mise en place d'une grande intercommunalité dans le Nord Ardennes. Pour le moment, il est encore trop tôt pour les détailler, mais à la lecture du contenu de ces petits messages électroniques, il semblerait que l'on aille vers des révélations qui ébranleront les certitudes affichées jusqu'ici par certains. Une première étape dans la bataille de chiffres qui se prépare, qui sera suivie à n'en pas douter par d'autres annonces qui n'iront pas dans le même sens, mais que le PG/La Pointe vous conseille néanmoins de ne pas rater...
4 commentaires:
et vous, vous en pensez quoi?
Le PG/La Pointe fera connaître sa position officielle le moment venu ! Quant à moi, j'attends avec impatience de lire les révélations qui seront publiées demain, ainsi que celles qui ne manqueront pas de suivre pour affiner mon point de vue. Laurent Bouvier
Et si on s'attardait quelques instants sur d'autres chiffres? La com com Ardennes rives de Meuse existe depuis 1987, si on prend en compte la période District. A une échelle plus large : ADEPP, ADT, Pays des Vallées de Meuse et de Semois (dans sa version projet de loi des pays Voynet), trois structures qui n'existent plus et montées par les élus. Ajoutons trois offices de tourisme communautaire, ayant chacun sa propre politique de vente du territoire.
A côté, regardons les chiffres de l'INSEE sur la démographie et l'économie du territoire, désespérants. A mon sens, quand on compare ces chiffres avec les projets en cours et le positionnement des élus, je trouve que quelque chose ne fonctionne pas, voire que le système n'est pas (plus) adapté. La vallée de la Meuse a besoin de se trouver un nouveau modèle culturel (de pensée, de s'administrer, de s'organiser). Mais ces derniers mois montre qu'on est loin du compte.
Bien cordialement,
Quelque chose ne va pas dans la vallée de la Meuse, c'est certain ! Vous estimez qu'il s'agit de la façon de penser, de s'administrer, de s'organiser, bref de ce que les marxistes appelaient en leur temps la superstructure. C'est une possibilité, à moins que ce ne soit ce que les mêmes marxistes appelaient l'infrastructure, autrement dit le système économique et social en place qui n'est que la conséquence des politiques libérales menées à l'échelle nationale et européenne...
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